« Tout est lumière. » — Albert Einstein
La lumière comme catalyseur de la plasticité cérébrale :
La lumière comme catalyseur de la plasticité cérébrale :
Les mitochondries — longtemps décrites comme de simples “centrales énergétiques” — se révèlent être des transducteurs quantiques, capables de moduler le flux d’électrons par effet tunnel.
La lumière rouge interagit avec la membrane mitochondriale via les couches d’eau d’exclusion (EZ) décrites par Gerald Pollack, abaissant les barrières de conduction et permettant une circulation électronique cohérente.
Résultats observés :
Libération du monoxyde d’azote (NO) → vasodilatation et oxygénation accrues
Production d’ATP facilitée → énergie cellulaire restaurée
Flux électronique cohérent → réduction du stress oxydatif et de l’entropie cellulaire
Ce mécanisme, connu sous le nom de tunneling quantique, est également observé dans la photosynthèse, la catalyse enzymatique et la fidélité de l’ADN.
